Loin des idées reçues et des clichés pseudo-mystiques, l’iridologie est une discipline issue de la naturopathie qui mérite d’être mieux connue.
Elle repose sur un principe simple : l’observation attentive de l’iris
(la partie colorée de l’œil) permettrait d’obtenir des informations sur l’état général de l’organisme, ses déséquilibres, ses faiblesses, voire ses prédispositions.
Une approche naturelle et préventive
L’iridologie ne remplace pas un diagnostic médical, mais elle s’inscrit dans une démarche complémentaire et préventive.
L’idée n’est pas de “lire l’avenir dans les yeux”, mais de repérer des signes visibles dans l’iris, taches, stries, couleurs, zones dépigmentées, qui pourraient signaler une surcharge, un dysfonctionnement ou une faiblesse d’un organe.
L’iridologue s’appuie sur une cartographie précise de l’iris, où chaque secteur correspond à une zone du corps (un peu comme les zones réflexes du pied ou de l’oreille en réflexologie).
Grâce à une loupe, il peut observer avec précision ces micro-indications et proposer des pistes pour rééquilibrer l’organisme.
Un outil de bilan global
L’intérêt de l’iridologie réside dans sa capacité à donner une vision d’ensemble :
terrain acide ou alcalin, système nerveux tendu, foie congestionné, intestins paresseux…
Autant d’indices qui aident à mieux comprendre ce qui se joue dans le corps, même en l’absence de symptômes marqués.
Elle est donc particulièrement utile en prévention, ou en accompagnement d’une démarche naturopathique.
Elle oriente, elle éclaire, elle complète.
Et dans ce cadre, elle peut être un outil précieux pour personnaliser les conseils en hygiène de vie, alimentation ou gestion du stress.
Pour qui ? Pourquoi ?
L’iridologie peut s’adresser à toute personne désireuse de mieux comprendre son terrain, ses points faibles, et de prévenir plutôt que guérir. Elle est particulièrement appréciée dans les bilans naturopathiques, pour affiner une stratégie de vitalité sur-mesure.
Si vous êtes curieux, n’hésitez pas à franchir le pas : l’œil a souvent bien plus à dire qu’on ne le pense…
Martine Martin